LES VACHES SACREES DU SOCIALISME
L'idéologie socialiste ruine LA FRANCE. La ferme est trop petite pour les héberger toutes … : les 35 heures, l'ISF, la CMU, les régimes spéciaux, les retraites anticipées, l'immigration illimitée, le mépris pour l'artisanat, le smic élevé qui dissuade d'embaucher, les allocations et subventions distribuées à fonds perdu, la sacralisation du pauvre et la démonétisation du riche, la vulnérabilité aux pressions gauchistes et intégristes, le discours lourdement moralisateur d'apparatchiks au passé judiciaire passablement encombré, le petit jeu puéril du "plus-à-gauche-que-moi-tu-meurs", la tendresse envers les délinquants multirécidivistes "victimes de la société", le rejet inavoué mais persistant de l'économie de marché, la détestation du patron forcément voyou, les milliards de la formation professionnelle monopolisés par les syndicats - en attendant le compte pénibilité, qui achèvera des entreprises déjà en coma dépassé... N’en jetez plus, la ferme et la cour sont pleines.
Autant de totems intangibles au sein de la gauche dure du "socialisme à la française", et comme par le passé, ceux qui prétendront s'y soustraire seront progressivement marginalisés en tant que sociaux traîtres...
Au cas où tout cela ne suffirait pas à couler le gouvernement, il faudrait encore compter avec les aléas et les foucades des règlements et jugements européens, avec les haines claniques du Front national, et surtout avec la soif de revanche d'une droite indignée d'avoir été reléguée dans l'opposition par un candidat à l'air bonasse et aux promesses intenables.
Manuel Valls est un homme intelligent et pragmatique, ainsi qu'il l'a prouvé par maints propos fort sensés - qu'il répudie à présent pour rester bien en cour. Dans notre modèle politique, c’est une coutume !!!!
Comme d'autres avant lui, il se cassera les dents face au cynisme arrogant du président, à l'hostilité des courtisans et aux diktats d'une idéologie obsolète, qui fait rire jusqu'en République populaire de Chine. Au fond, "On prétend que c'est une mission impossible... et l’avenir risque bien de nous donner malheureusement raison.
socialiste. La ferme est trop petite pour les héberger toutes … : les 35 heures, l'ISF, la CMU, les régimes spéciaux, les retraites anticipées, l'immigration illimitée, le mépris pour l'artisanat, le smic élevé qui dissuade d'embaucher, les allocations et subventions distribuées à fonds perdu, la sacralisation du pauvre et la démonétisation du riche, la vulnérabilité aux pressions gauchistes et intégristes, le discours lourdement moralisateur d'apparatchiks au passé judiciaire passablement encombré, le petit jeu puéril du "plus-à-gauche-que-moi-tu-meurs", la tendresse envers les délinquants multirécidivistes "victimes de la société", le rejet inavoué mais persistant de l'économie de marché, la détestation du patron forcément voyou, les milliards de la formation professionnelle monopolisés par les syndicats - en attendant le compte pénibilité, qui achèvera des entreprises déjà en coma dépassé... N’en jetez plus, la ferme et la cour sont pleines.
Autant de totems intangibles au sein de la gauche dure du "socialisme à la française", et comme par le passé, ceux qui prétendront s'y soustraire seront progressivement marginalisés en tant que sociaux traîtres...
Au cas où tout cela ne suffirait pas à couler le gouvernement, il faudrait encore compter avec les aléas et les foucades des règlements et jugements européens, avec les haines claniques du Front national, et surtout avec la soif de revanche d'une droite indignée d'avoir été reléguée dans l'opposition par un candidat à l'air bonasse et aux promesses intenables.
Manuel Valls est un homme intelligent et pragmatique, ainsi qu'il l'a prouvé par maints propos fort sensés - qu'il répudie à présent pour rester bien en cour. Dans notre modèle politique, c’est une coutume !!!!
Comme d'autres avant lui, il se cassera les dents face au cynisme arrogant du président, à l'hostilité des courtisans et aux diktats d'une idéologie obsolète, qui fait rire jusqu'en République populaire de Chine. Au fond, "On prétend que c'est une mission impossible... et l’avenir risque bien de nous donner malheureusement raison.
Source:Alain Sandler,président de C.C.F. dont j'approuve l'analyse et:
ce qui signifie:
Nom du blog: http://lescontribuables.canalblog.com