TRAITEMENT DE LA DETTE PAR LA DETTE !!!!!
- Le fonds de sauvetage de l'euro finalisé
Mots clés : Euro, Finances, LUXEMBOURGLUXEMBOURGLUXEMBOURGLUXEMBOURGLUXEMBOURGLUXEMBOURGLUXEMBOURGLUXEMBOURG, UNION EUROPÉENNE
Par Jean-Jacques Mevel(le figaro.fr)
07/06/2010 | Mise à jour : 22:11
Les ministres des Finances sont parvenus ce lundi à un accord sur le fonds de sauvetage de l'euro. Crédits photo : AFPLes ministres des Finances des Vingt-Sept, étaient réunis à LuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourg lundi soir.
L'Union européenne s'est remise lundi à sa toile de Pénélope : la mise en place d'une «gouvernance» économique pour tenir ensemble le cap de la sortie de crise. Mais elle n'en a toujours défini ni le contenu, ni le calendrier, ni même les acteurs. Le report inopiné du rendez-vous Sarkozy-MerkelSarkozy-MerkelSarkozy-MerkelSarkozy-MerkelSarkozy-MerkelSarkozy-MerkelSarkozy-MerkelSarkozy-Merkel à Berlin s'ajoute à d'autres contretemps pour une entreprise qui peine à décoller. Les ministres des Finances des Vingt-Sept, réunis à LuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourg lundi soir, devaient tout de même pousser les feux de leur côté.
Côté positif, les ministres de la zone euro ont scellé leur accord sur la «facilité» de 750 milliards qui doit garantir l'éventuel renflouement d'États au bord de la faillite. Ils se sont entendus pour endiguer l'un des maux qui ronge la monnaie unique : Eurostat, le bras statistique de l'UE, va être doté de vrais «pouvoirs d'investigation» afin d'éviter qu'un pays puisse dissimuler pendant des années la gravité de sa situation budgétaire. Voilà pour les remèdes.
Sanctions européennesLes avancées sont plus confuses dans les instances, parfois concurrentes, chargées du volet prévention : l'Eurogroupel'Eurogroupel'Eurogroupel'Eurogroupel'Eurogroupel'Eurogroupel'Eurogroupel'Eurogroupe, qui réunit les 16 ministres de l'euro, l'Ecofin, qui rassemble les 27 grands argentiers de l'UE, et pour finir le nouveau groupe de travail qui place les mêmes sous l'autorité du président du Conseil, Herman Van Rompuy. Les trois se retrouvent en moins de vingt-quatre heures à LuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourgLuxembourg.
Premier étage de la mécanique préventive, le resserrement de la discipline budgétaire commune est acquis sur le principe. Mais ses modalités continuent d'opposer l'Allemagne, héraut de l'orthodoxie, à une bonne partie de l'Europe. Berlin veut imposer aux pays qui refusent de rentrer dans le rang des sanctions européennes, telle la privation du droit de vote, qui n'existent pas dans les traités. José Manuel Barroso juge «naïve» l'attitude du gouvernement Merkel. La France, sans rejeter de front l'idée allemande, estime qu'elle ne répond pas à l'urgence «parce qu'il faudrait au moins trois ans pour modifier les textes», explique un diplomate.
Les choses se compliquent à l'échelon supérieur, celui de la gouvernance et de la coordination des politiques économiques. Angela Merkel et Nicolas Sarkozy tentent d'accorder leurs violons à l'approche du prochain sommet de l'UE, dans neuf jours à Bruxelles. Herman Van Rompuy veut lui aussi faire des propositions.
La chancelière s'est rendue en mars à l'idée d'un «gouvernement économique» européen, défendue par l'Élysée. Mais plutôt que d'ouvrir un nouveau chantier institutionnel, Berlin songe d'abord à imposer à ses partenaires sa «culture de stabilité» comme modèle.
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C’est en tout cas ce que prédit le quotidien La Tribune dans son édition d’aujourd’hui. Après la Grèce, la Grande-BretagneGrande-Bretagne pourrait être également mise au ban des marchés d’emprunt à cause de sa situation budgétaire : la dette publique a atteint cette année 80 % du PIB. Le gouvernement britannique promet, pour contrer les risques, de faire de la réduction des déficits sa priorité.En Europe pour le moment on trouve en position de trés délicate à délicate Gréce,Espagne,Portugal,Grande-BretagneGrande-Bretagne,Hongrie , France,....
- CONCLUSION
Nos soi-disant spécialistes de l'économie on trouvait un remède pour traiter le probléme bien réel de la dette , l'augmenter. L'économie juge cette solution absurde et donc l'euro baisse par rapport au dollar,le chômage augmente,la pauvreté s'amplifie,etc....Le problème économique est bien réel mais le résultat de la solution adoptée par nos dirigants montre clairement QU'ILS ONT TORT. La seule solution préconisée par VRAIS ÉCONOMISTES est de baisser les dépenses,les impôts et de relancer l'épargne.Nos gouvernants entendent mais n'écoutent pas. Aussi ils nous préparent des lendemains douloureux dont ils seront responsables et COUPABLES d'avoir pris les mauvaises décisions en n'écoutant pas la sagesse populaire. Les banques française s sont fortement exposées en Europe. Par exemple en Gréce la somme atteint 55 à 60 milliards d'euros,en Espagne 50,au Portugal 45 soit 150 à 160 milliards d'euros.A cette somme il faut ajouter les autres pays européens et plus particulièrement la Hongrie qui est au bord de la faillite,mais qui ne fait parti de l'euro groupe.