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lescontribuables
18 avril 2014

POUR LA FRANCE

 

 

 

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Chers Amis,

 

J’ai acquis la certitude, que le régime des partis, qui est devenu notre modèle politique, est, comme le disait le Général de Gaulle, le pire des systèmes, c’est un mal nécessaire, mais à condition que le Président de la République en soit indépendant et au-dessus, et qu’il soit le garant de la grandeur de la France, c’est-à-dire de l’intérêt général de la patrie. Qu’il soit capable de proposer au peuple, les grandes orientations, les grandes réformes. Et que le peuple puisse se prononcer clairement et majoritairement. Le seul dialogue appelé dialogue social est totalement insuffisant puisqu’il s’avère inefficace. Le rôle du Président étant d’être à l’écoute des partis politiques, pour en extraire, la substantifique moelle.

 

C’est la première réforme à mettre en œuvre.

Un candidat à la Présidence de la République, lorsqu’il ambitionne de gouverner le pays, doit abandonner toute attache partisane et proposer aux Français un plan d’action, des réformes précises, qu’il s’oblige en cas d’élection à mettre en œuvre. Il doit en prendre l’engagement formel.

Le premier ministre, dans cette formule, n’a pas de raison d’être. En revanche, on peut imaginer l’existence d’un vice-président, au cas où…

Les Ministres étant les managers du quotidien, pour suivre et mettre en œuvre les décisions. Seuls des Ministères régaliens se justifiant.

L’exécutif, l’Assemblée Nationale, étant comme son nom l’indique, l’exécutif de la volonté du peuple.

 

Notre modèle est arrivé à son terme, il ne donne plus satisfaction, l’abstention est le premier parti de France, ce qui est très mauvais pour la démocratie. Ce qui prouve le manque de confiance des Français envers son personnel politique, envers sa manière de gouverner, envers les résultats qu’il n’obtient pas. Les Français sont de plus en plus lucides grâce en grande partie non pas aux médias traditionnels qui sont sensés les informer, mais grâce aux nouvelles technologies qui au quotidien informent de la réalité des faits.

 

En écoutant le nouveau premier ministre lors de sa déclaration de politique générale, et en écoutant les intervenants successifs, représentants de ces partis politiques qui dominent ce modèle décevant, je constate avec regret, avec tristesse, que notre pays sait faire la bonne analyse, les bons constats, mais que les bonnes décisions ne sont pas prises, ne sont même pas proposées.

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